En apercevant les premiers toits blancs, on se dit qu’on est tombé dans un conte de Perrault, qu’on a traversé le miroir d’Alice, que c’est un village mis sur pied uniquement pour en mettre plein la vue. Rien n’est plus loin de la réalité. Avec ses maisons blanches enchanteresses, ses ruelles qui serpentent jusqu’à la superbe Eglise trullo et ses boutiques artisanales à foison, Alberobello n’est aux yeux des habitants que la quintessence de la pauvreté et de la simplicité des personnes qui la construisirent. Publié le Alban Mikoczy du bureau de Rome de France 2 Leggi di piu.. <—> Ouvrir ce lien ci avant, puis laissez vous guider jusqu’à voir le reportage visuel et sonore.